Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau
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Réalisateur : |
Gints ZILBALODIS | ||
Acteurs : |
XXX | |||
Genre : |
Animation | |||
Durée : |
1 h 25 | |||
Date de sortie : |
30/10/2024 | |||
Titre original : |
Flow | |||
Note "critique" : |
2,25 | |||
Classement 2024 |
76 / 96 |
Résumé : |
.O xx |
.O. Un chat se réveille dans un univers envahi par l’eau où toute vie humaine semble avoir disparu. Il trouve refuge sur un bateau avec un groupe d’autres animaux. Mais s’entendre avec eux s’avère un défi encore plus grand que de surmonter sa peur de l'eau ! Tous devront désormais apprendre à surmonter leurs différences et à s’adapter au nouveau monde qui s’impose à eux. .O. |
Xavier |
.O. Que dire d'autre ? Que le résumé est bien gentil car je n'ai pas vraiment retrouvé tout ce qu'il évoque dans le film. Voir le chat tomber périodiquement de sa barque, y remonter et attendre une heure pour pêcher, les relations entre espèces qui vont évidemment se gnacker les oreilles au début avant de s'entraider, les sauvetages au dernier moment qui sortent de nulle part... Les déambulations de ces quelques animaux au milieu de paysages fait de stalagmites géantes n'ont pas de but mais je les ai regardé diriger leur barque (au sens propre du terme...) en me demandant par quel tour de passe-passe le scénario allait pouvoir retomber sur ses papattes. Le twist attendu arrive dans les dernières minutes et permet de ne pas laisser le film partir dans un état d'esprit trop noir (pourtant, pour une fin du monde, ça paraîtrait raccord !). Le côté tire-larme ne sera pas oublié pour achever un film qui est sympathique graphiquement mais que je trouve très convenu dans son déroulé. Comment a-t-il pu reparti d'Annecy avec une distinction ? Pour son message ? Sûrement mais, si ça me fait râler quand Cannes fait cela, je ne vais pas changer d'avis quand les Savoyards font de même !. |
Première : ¤ ¤ ¤ |
.O. Constamment immersif, le film joue de notre biais anthropomorphique sans jamais se départir d’un regard à hauteur de chat. Une fable, une grande, émouvante et sincère, sur le pouvoir du collectif. Et certainement un peu sur l’inutilité de notre espèce, voire sa responsabilité dans l’effondrement du monde. Le règne animal commence ici. .O. |
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